INTERFÉRENCESTanara Stuermer
LA PHOTOGRAPHE
Tanara Stuermer a découvert la photographie lors d’études sur la théorie de l’image et de la sémiotique dans le sud du Brésil. Depuis son installation à Rio de Janeiro il y a quinze ans, elle y explore en photo le mouvement et la solitude.
Plus récemment, l’attrait de l’abstrait l’a conduit à capturer les interférences du réel avec le plastique, le verre et l’acrylique, si communs et encore plus après le monde pandémique. Elle documente ainsi la réalité des relations humaines et de notre rapport au monde.
L’EXPO
L’environnement nous préoccupe, mais nous nous inondons de plastique, qui a déferlé par vagues pendant la dernière pandémie. Il protège de la pluie, du soleil, du vent, des agents pathogènes, en bref de tout ce qui nous rappelle de trop près le monde tel qu’il est. Il nous parle surtout de notre désir de mettre de la distance, de poser entre nous et les endroits où nous vivons des barrières de toutes sortes : peurs, préjudices, doutes et préoccupations. L’envie de voir demeure pourtant, à travers les réflexions ou la transparence fragile entre nous et l’objet ou l’être qui se trouve de l’autre côté. À l’interface se forment de troublantes interférences…
Interférences
Auteuil 1
Interférences
Interférences
Paris Bastille 4
Interférences
Arpoador II (Rio de Janeiro)
INTERFÉRENCES
Bastille 3
INTERFÉRENCES
Parque Lage 1
INTERFÉRENCES
Arpoador I
INTERFÉRENCES
Arpoador III